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Les annonces sont publiées dans l'ordre chronologique inverse : les plus récentes en premier lieu.


16 novembre 2009 :
Incendie dans un home d'étudiants de l'Unikis.

Lundi vers 13 heures, un incendie s'est déclaré dans le home B2 occupé par les étudiants. Actuellement, certains ont terminé leur première session tandis que les autres sont en pleine session. Ce bâtiment venait d'être réhabilité par la MONUC.
(Source Jean-Pierre AGBEMA et Laurent ALEMO)










 
 "En Province Orientale, les autorités académiques de l’Université de Kisangani sont préoccupées par l’incendie qui s’est déclaré le lundi 16 novembre 2009 au home Boyoma 2. Selon les étudiants, cet incendie a été provoqué par une plaque chauffante laissée allumée par mégarde. Le feu a été occasionné par un réchaud qui a brûlé deux chambres et tous les effets des étudiants internés. Pour plusieurs observateurs, le manque de rigueur et le non respect des normes de gestion seraient à la base de cet incident.
S. K.
Source 'Le Potentiel', édition 4841 du samedi 21 Novembre 2009."

 


Jeudi 20 août 2009 :
Je suis interviewé par Radio France Internationale sur invitation du journaliste Cédric Kalonji dans le cadre de l’utilisation du Web pour faire revivre une période historique. Il s'agissait de m'interroger au sujet du sens de ma démarche consistant à publier des photos de Kisangani hier et aujourd'hui ainsi que des retombées éventuelles de ce travail de mémoire sur le Web.
L'émission est diffusée à partir du 21 août dans la rubrique Mondoblog de l’Atelier des Médias (n° 90-4). Pour écouter le sujet Kisangani dans l'émission de 24 minutes, lancer la bande audio puis cliquer sur la barre de progression verte vers 790 (ou 13'10"). Le sujet se termine vers 1050 (17'25"). Ecouter l'émission.

Il y a un "bonus" de 11 minutes en bas de la page web en question et là, le sujet Kisangani est situé entre 345 (5'45") et 548 (9'07"). Ecouter ce bonus.
(Jean-Luc ERNST)


22 mai 2009 :
Restauration de l'ancien bâtiment de la mairie de Kisangani
en bureaux et résidence du Chef de l'Etat.


Lire l'annonce au format PDF.


22 mai 2009 :
Kisangani : reprise du transport en commun, plus de dix ans après :

Quarante voitures et dix minibus, c’est le charroi automobile que des particuliers viennent de mettre à la disposition de la ville de Kisangani pour le transport en commun. Depuis plus de dix ans, à cause des guerres et de la dégradation avancée de la voirie urbaine, les taxis et taxis bus avaient disparu dans cette ville, rapporte radiookapi.net


Ces bus sont photographiés devant la poste de Kinshasa (source Daniel Ghyselings, mars 2010)

Le coup d’envoi a été donné jeudi par le vice gouverneur de province. La relance du transport en commun à Kisangani après plus de dix ans, est de l’initiative des particuliers, membres de l’Association de chauffeurs du Congo, avec l’appui des autorités locales. Elle a été rendue possible, notamment grâce à l’amélioration progressive des infrastructures routières de la place, et la réouverture de plusieurs stations d’essence dans la ville boyomaise.

Une course en taxi coûte, à l’intérieur d’une commune, 300 francs congolais par passager, et 400 francs d’une commune à une autre; et pour le minibus, 200 francs. Une tarification qui répond à toutes les bourses, selon le ministre provincial du Transport qui souligne que c'en est fini le temps du transport par vélo et par moto, des moyens non conventionnels qui occasionnaient, a-t-il laissé entendre, de nombreux accidents.
(Copyright Radio Okapi)


21 novembre 2008 :

47.331.965 USD pour doter la ville de Kisangani d’un plan d’aménagement urbain moderne :

La ville de Kisangani est la première en République Démocratique du Congo à bénéficier d’un plan de développement urbain moderne, dont le coût s’élève à 47.331.965 USD. Cette annonce a été faite à la presse, lundi, par le maire de la ville de Kisangani, Guy Shilton Bendo Tufuli Molanga, à son retour de Kinshasa où il a pris part à un atelier organisé par le ministre d’Urbanisme et Habitat, en collaboration avec ONU et Habitat. Le maire de la ville de Kisangani a, par cette occasion, rendu hommage au Chef de l’Etat pour avoir choisi comme modèle le développement de la ville de Kisangani dont le dernier plan urbain date des années 1915-1920.
Ce nouvel aménagement, a-t-il renchéri, va permettre à la ville de Kisangani de rentrer dans le concert de villes modernes au monde. L’autorité urbaine a également indiqué à l’assistance que son séjour kinois aura été profitable, au regard notamment des différents contacts avec certaines ambassades pour le jumelage de Kisangani avec d’autres villes du monde et avec les sociétés de transport et autres stations service en vue d’améliorer le mode de transport dans la ville.
(Source : A.C.P. 21.11.2008)



27 juin 2008 :

Kisangani : réhabilitation de la Grande Poste.

L'article complet ici.


12 juin 2008 :

Kisangani : quartier du stade, le délai du gouverneur avant la démolition a expiré.

L'article complet ici.



8 juin 2008 :

Traces de déforestation autour de Kisangani.




L'article complet ici.



7 juin 2008 :

Députés et Sénateurs réclament justice et réparation des préjudices de la Guerre de six jours de Kisangani

La réparation du préjudice causé par les armées rwandaise et ougandaise en juin 2000 dans la ville de Kisangani en Province Orientale a été au centre d’une conférence de presse animée par le Professeur Faustin Toengaho Lokundo en sa résidence de Gombe.

Le professeur a demandé justice et réparation pour les préjudices causés par les agresseurs. L’on se souvient que les deux armées se sont affrontées du 5 au 10 juin 2000 à Kisangani, chef-lieux de la Province Orientale.

L'article complet ici.


6 juin 2008 :

A peine réhabilité, le stade Lumumba de Kisangani se détériore à nouveau...

L'article complet ici.


2 juin 2008 :

Des actes cruels, inhumains dans les postes de police à Kisangani.
Johannesburg, – (D.I.A.) - Face au décès de Monsieur Sabuni Mabilanga Gaby, un jeune homme âgé de 18 ans, habitant la 12ème avenue n° 66 dans la commune de Kabondo, le Groupe Lotus, une organisation de défense des droits humains basée à Kisangani en République Démocratique du Congo, RDC, s’insurge contre la consécration des actes cruels, inhumains ou dégradants dans les postes de police et les services de sécurité à Kisangani.

L'article complet ici.


1er juin 2008 :

Kisangani: mort d’un « Kadhafi », le groupe Lotus exige une enquête.

Le groupe Lotus, une ONG des droits de l’homme basée à Kisangani et membre de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme, exige toute la lumière sur la mort d’un revendeur d’essence, communément appelé Kadhafi, décédé il y a près d’une semaine suite aux tortures qui lui ont été infligées pendant sa détention à la prison centrale de Kisangani, rapporte radiookapi.net

L'article complet ici.


28 mai 2008 :

Un journaliste d'une chaîne publique suspendu pour trois mois pour "propos non corrects", son émission annulée...

Eddy Abasiko Mango, journaliste à la RTNC (Radio Télévision Nationale Congolaise), chaîne publique, station de Kisangani, dans la province Orientale (à l'est de la RD Congo), a été suspendu de ses fonctions,...

L'article complet ici.


19 mai 2008 :

Congo-Kinshasa: Kisangani - les professeurs de l'Unikis suspendent leur mouvement de grève

La décision est tombée jeudi à l'issue d'une assemblée générale extraordinaire tenue par l'Association des professeurs de l'Université de Kisangani, Apukis. Cette grève a duré plus de deux mois, rapporte radiookapi.net.

L'article complet ici.


8 mai 2008

Kisangani: les habitants demandent des comptes aux élus

(Syfia Grands Lacs/RD Congo)
Plus d’une année après les élections, les habitants de Kisangani ne voient pas venir le changement promis et commencent à exiger des comptes des élus. Des Ongs canalisent ces revendications en organisant des rencontres entre ministres et députés, pour interpeller les dirigeants sur la gestion des affaires publiques…

L'article complet ici.


8 mars 2008, de source bien informée :

Durant février, les professeurs de l'Université de Kisangani ont décidé d'écourter leur grève dans l'attente du paiement de leur salaires. Mais au 8 mars 2008, les salaires de février n'étaient toujours pas payés.


Journal du Citoyen no 114 - 16-22 février 2008

Province Orientale.

Les professeurs de l’Université de Kisangani (Unikis) sont en grève depuis le 11 février dernier pour une durée indéterminée. Ils ont pris cette  décision à l’issue de l’assemblée générale des professeurs  tenue le 6 février dernier. Les enseignants réclament l’amélioration de leurs conditions salariales, la mécanisation de nouveaux docteurs et des professeurs promus aux différents grades.


Journal du Citoyen no 114 - 16-22 février 2008


Kisangani : les amendes imposées aux conducteurs des taxis-vélos renflouent les caisses de l’Etat

A Kisangani où le transport des personnes et des biens s’effectue principalement par des vélos, la police tente de faire respecter rigoureusement le Code de la route pour réduire le nombre d’accidents. Les premiers résultats sont positifs : il y a moins d’accidents sur les artères de la ville et les caisses de l’Etat sont bien renflouées.

«Pour m’être garé devant un magasin, un élément de la Police spéciale de roulage (PSR) a saisi mon vélo!» Le regard fixé sur sa bicyclette embarquée sur une charrette de la Police, Lambert Yuma, un «tolekiste» (NDLR : chauffeur de taxi-vélo) de Kisangani, dans la Province Orientale, se mord les doigts de voir son gagne-pain prendre la direction du Commissariat de police. Pour le récupérer, il doit s’acquitter d’une amende de 1.500 à 2.500 Fc (3 à 5 $).

C’est, désormais, le prix à payer pour tout conducteur qui tombe sous le coup des infractions de mauvais stationnement, de non-respect du sens unique, d’absence de notions de dépassement et d’absence de phares sur les vélos. «C’est parce qu’ils ne respectent pas ces règles que les taxis-vélos, principaux moyens de transport des personnes et des biens, causent de nombreux accidents», affirme un commandant de la police.

Selon les statistiques du ministère provincial des Transports et voies de communications, la ville de Kisangani compte plus de 17.000 «tolekistes», pour une population estimée à 800.000 habitants. Ils sont essentiellement jeunes et n’ont souvent aucune notion du Code de la route. «Leur nombre trop élevé constitue un vrai casse-tête», avoue le sous commissaire Bienvenu Ivumba, chargé des statistiques à la PSR.

En 2007, son service avait dénombré au moins  38 accidents par mois causés par les conducteurs des vélos-taxis. Pour endiguer ce problème, la police a organisé à la fin de l’année 2007, une campagne de sensibilisation des taximen. Elle a tourné autour du respect de la réglementation routière.

Prévention, puis sanctions

Cette nouvelle réglementation donne du tournis aux «tolekistes». Trop habitués au laisser-aller à longueur de journée, ils ne cessent de se plaindre de «tracasseries policières». «Il s’agit plutôt du respect strict de code de la route»,  rétorque le major Tshimanga Beya, responsable de la PSR à Kisangani. Depuis la fin de la campagne de sensibilisation, ses agents sont dans tous les carrefours pour régler la circulation des vélos, et mettre la main sur les contrevenants. Les vélos saisis à la fin de chaque journée sont acheminés au Commissariat de la police où leurs propriétaires sont astreints à payer des amendes.

«Nous menons une action à deux temps : la prévention et la sanction», explique le patron de la PSR. Pendant la période de sensibilisation des «tolekistes», les policiers leur prodiguaient des conseils, et parfois réquisitionnaient pendant un temps leurs vélos avant de les rendre à leurs propriétaires. «Maintenant, ce n’est plus le cas !», annonce le major. Les fautifs payent des amendes.
La peur du gendarme et la crainte de se voir coller une contravention ont, dès lors, commencé à provoquer des changements de comportement chez les conducteurs. Les carrefours, jadis encombrés des vélos à l’attente des clients, sont dégagés. Du côté des statistiques, les accidents sont tombés sous la barre de 30, avec une moyenne ne dépassant pas 25 cas par mois…

«Fini le trafic d’influence…»

Les retombées financières sont aussi intéressantes. La police réalise des recettes qui vont désormais dans les caisses de l’Etat. Une petite révolution en soi. «Chaque semaine, ils viennent verser quelque chose sous forme d’amende transactionnelle», reconnaît Sumaili Ramazani de la Direction générale des recettes administratives et domaniales (DGRAD).

L’obligation faite par ailleurs à tous les taxis motos et motocyclistes d’avoir une plaque d’immatriculation et une carte rose devraient accroître les recettes. Les autorités policières promettent de redoubler de vigilance en 2008, car ce secteur de transport en commun rapporte davantage d’argent au Trésor public. «Pour la première fois, nous avons envoyé 30 vélos au Parquet pour des contraventions durant les trois derniers mois de 2007», se félicite Bienvenu Ivumba.

Sur les murs du bureau d’un autre commissariat de police, on peut d’ailleurs lire : «Fini le trafic d’influence en cas d’arrestation d’un engin». Ce qu’il a fait comprendre à un agent de la mairie, tombé lui aussi sous le coup d’une contravention : «Nous sommes déjà dans un Etat de Droit, tout le monde doit marcher conformément à la loi».

Ernest MUKULI
InterCongo media/Syfia


5 février 2008 :

L’Hôtel des postes de Kisangani cherche preneur

Journal "L'Avenir.net" - mardi 5 février 2008, par O.P.B.K


Il est de notoriété publique que la Province Orientale figure parmi les plus sinistrées des provinces de la République démocratique du Congo. Ce constat est unanime, mais il faut noter que au fur et à mesure que le temps passe et que les infrastructures continuent à se dégrader, la reconstruction devient aussi difficile que coûteuse.

L’immeuble abritant l’Hôtel des postes de la ville de Kisangani, monument vivant de la modernité relative du chef-lieu de la PO a subi dernièrement une destruction décisive, consécutive aux pluies diluviennes qui se sont abattues sur l’étendue de la ville de Kisangani dans la nuit du 10 au 11 janvier dernier. On apprend que le devis établi pour sa réfection totale par l’Ong de développement " Atrasta " se chiffre à 98 985 dollars selon une source de la Division provinciale de l’Ocpt. Cette information émanant de l’agence de presse associée Apa, fait état des dégâts matériels immenses au nombre desquels la toiture qui a été littéralement arrachée par la violence du vent. Rien que la remise à neuf de cette toiture nécessite la mobilisation de la somme de 24 380 dollars, somme à retirer du montant initial alloué à cette réhabilitation. Le gros du travail consistera à renforcer la structure de l’immeuble par l’adjonction du béton armé, les travaux d’étanchéité, la pose de nouvelles vitres et la peinture. Situé au centre ville de Kisangani dans la commune de la Makiso, l’Hôtel des postes, propriété de l’Etat attribué à l’Office congolais des postes et télécommunications est un symbole vivant des affrontements qui ont opposé scandaleusement les troupes rwandaises et ougandaises en pleine ville de Kisangani il y a bientôt huit ans. Façades criblées de balles, vitres pulvérisées par l’onde de choc, conduites d’eaux éventrées par l’énergie cinétique des bombardements aveugles, ce pachyderme de l’architecture coloniale n’est plus que l’ombre de lui-même.

Les habitants de Kisangani toujours pratiques, avaient aussitôt le conflit terminé, commencé à murer l’emplacement des vitraux par des planches grossières et du contreplaqué. La vie dans les appartements, jadis agréable, est devenue un enfer de chaleur et de moustiques qui tourbillonnent, apportant la malaria à une population accaparée par les soucis quotidiens de survie. Tel quel, l’Hôtel des postes est arrivé en fin de sa carrière ; les travaux qui sont projetés arrivent à pic pour redorer son blason. La question que l’on se pose cependant reste de savoir si l’argent est prêt, pour qu’on démarre au plus vite les travaux. Si ce n’est pas encore le cas, alors il y a lieu de le trouver rapidement pour commencer non pas seulement la réhabilitation de l’Hôtel des postes, mais également de la ville de Kisangani tout entière, selon les plans dressés dans le cadre des cinq chantiers du gouvernement.

Bomela tondo Bo-Lisoma Malko


1er février 2008 :

Nouvelle usine près de Kisangani

La Province Orientale va être bientôt dotée d’une cimenterie, à l’instar de Kinshasa et du Katanga. Un lot de matériel servant à la construction de la cimenterie de la Province Orientale (Cipor) a été remis le 12 janvier par un représentant de la société Jaguar, Sanjay Sngahai, chef de la logistique, en présence du ministre congolais de l’Industrie et des PME, Simon Mboso. Ce 1er lot est constitué de 130 conteneurs de matériel provenant d’Inde, partenaire dans cet investissement.

L’usine sera installée à Maika (15 km à l’est de Kisangani), où a été découvert du calcaire. Selon M. Mboso, le ciment constitue un produit essentiel pour la réalisation des chantiers prioritaires du Président, à commencer par les infrastructures : l’Etat congolais aura la possibilité de relancer la réhabilitation des routes, la construction des maisons, hôpitaux et écoles.

« L’implantation de cette usine à Kisangani sera un facteur moteur de l’économie et du développement dans la Province Orientale et pour les provinces environnantes », a souligné M. Mboso ajoutant que la création d’industries constitue un facteur important de lutte contre la pauvreté.
Marchés Tropicaux et Méditerranéens, 01.02.08
Article extrait de BELTRADE-INFO n° 12 - janvier/février 2008 disponible sur le site Beltrade-Congo (voir les "Archives", colonne de droite sur la page d'accueil).

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