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TSHOPO
681 pages avec de nombreuses illustrations.
Cliquer sur l'image ou sur ce lien pour télécharger l'ouvrage.
Note : les faits sont parfois exposés avec les oeillères de l'anti-colonialisme.
PREMIER SANG
L’histoire débute en 1964, deux ans avant la naissance de la prolifique romancière, à Stanleyville, aujourd’hui Kisangani, en République démocratique du Congo. À 28 ans, Patrick Nothomb croit qu’il va mourir jeune, comme son père qu’il n’a pas connu.
« Les douze hommes me mettent en joue. Est-ce que je revois ma vie défiler devant moi ? La seule chose que je ressens est une révolution extraordinaire : je suis vivant. Chaque moment est sécable à l’infini, la mort ne pourra pas me rejoindre, je plonge dans le noyau dur du présent. »
Après cette percutante entrée en matière, Amélie Nothomb revisite l’enfance de son père abandonné par sa mère, coquette veuve préférant les mondanités à la maternité, élevé par ses bienveillants grands-parents maternels.
Premier sang
Amélie Nothomb, Albin Michel, Paris, 2021, 175 pages
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60 ANS, 60 LIEUX, 60 TEMOINS
Que voulons-nous faire ensemble pour les 60 prochaines années et comment valoriser notre histoire commune qui a tissé entre nos deux pays une relation fraternelle ? On dit souvent que pour s’apprécier et se respecter, il faut connaître son histoire. Plus exactement nos histoires partagées qui nous ont amenés pendant des décennies à construire ensemble de magnifiques projets et qui, faute d’être connus ou entretenus, pourraient tomber aux oubliettes de l’histoire...
C’est cette histoire positive et singulière que nous voulons vous
faire découvrir dans ce livre, à travers des lieux et des témoins
qui ont vu le temps défiler, pour transmettre aux générations
futures cette même envie de construire ensemble. Les lieux et
témoins choisis reflètent à merveille ce formidable élan qui a
animé Congolais et Belges à partager un destin commun.
Editions Dynamedia, 232 pages, 250 photos, 24x20 cm, 60 €
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Renseignements :
info@dynamedia.be
LA REVOLTE DES MERCENAIRES
Si de nombreux ouvrages ont raconté les débuts de l'indépendance du Congo Belge, l'échec de l'indépendance du Katanga et l'assassinat de Patrice Lumumba, quasiment rien n'avait été écrit sur les évènements depuis la prise de pouvoir par le général Mobutu, jusqu'à la fin des mercenaires, soit juillet 1965 à juillet 1968. Ce livre est une synthèse des différentes actions politiques et militaires qui s'y superposèrent dans le plus grand désordre. Mais aussi et surtout l'histoire des mercenaires qui tentèrent durant trois années de rétablir un semblant d'ordre dans un pays totalement déchiré. Grâce à eux, Mobutu a pu s'installer au pouvoir avec la complicité active des Etats-Unis et de la CIA. Lorsque les "Affreux", pour de multiples raisons de politique intérieure et panafricaine, devinrent inutiles, il fallut trouver une solution pour s'en débarrasser.
Voici leur histoire abondamment illustrée de photos en majorité inédites et de cartes pour situer toutes les opérations dans ce pays en flamme.
Pour réaliser cet ouvrage, l'auteur, Henri Clément, a consulté toutes les archives disponibles et rassemblé les témoignages d'anciens mercenaires ou colons qui avaient jusqu'à maintenant gardé le silence.
On y cite l'affaire de Stanleyville en 1965-1967.
En vente dans toutes les bonnes librairies (et par internet, à la FNAC). Suite de son premier bouquin, retrace dans le détail la période de juillet 65 à la fin de l’aventure mercenaire en avril 68.
312 pages, nombreuses photos inédites, nombreuses cartes, documentation fouillée.
HAKUNA MATATA
https://www.edilivre.com/hakuna-matata-paul-rene-henrard.html/
Un extrait racontant mon premier cours en Afrique chez les Maristes de Kisangani où j'avais été mis à l'épreuve du feu pendant mon séjour de dix jours :
Le plouf magistral
Dans ma valise, je mis la main sur la pile des « Lagarde et Michard », mes recueils de littérature française. Julien Sorel, l’intriguant, le Rouge, la carrière militaire, le Noir, la carrière ecclésiastique …étudier pour sortir de la misère et choisir…colonel ou cardinal … le thème avait une résonance africaine… l’antagonisme entre les deux couleurs de la roulette au casino …un choix… Il y avait matière à broder mais ma leçon initiale fut un magistral plouf pédagogique. Un plongeon ventral pour garder la bouche au dessus de l’eau …pour camoufler ce trac accroché aux tripes. Je pris la parole et me livrai à un cours ex cathedra de la pire espèce. Je tenais le crachoir sans me laisser le temps de reprendre le souffle en recourant à une phraséologie inadaptée. « Tonton René et l'oncle Jean-Pierre Kanina parlent tellement bien que si tu ne fais pas attention, tu vas aimer comment ils s'expriment et oublier que tu ne comprends pas ce qu'ils veulent dire » glisse dans la bouche d'un jeune Collégien de Pointe Noire, Michel, l'écrivain Alain Mabanckou dans « Les cigognes sont immortelles ».
Dans ces faciès que rien ne me paraissait devoir distinguer, trente paires d’yeux m’observaient, soixante oreilles m’écoutaient. Mon discours n’était-il que baragouinage ? J’aurais pu m’en inquiéter et sonder. Tétanisé, je ne le fis pas. Je compris plus tard que l’aplomb rhétorique en Afrique primait sur tout. A défaut, d’avoir été clair ou fumeux, intéressant ou chiant, j’avais incarné le rôle assigné, pour le meilleur des apparences. Dans l’acte d’enseigner, il y a du jeu théâtral. J’avais incarné mon rôle jusqu’au bout, sans temps mort. Qu’importe le texte, pourvu qu’il y ait l’emphase.
188 pages, existe en version papier et en version numérique.
UNE TRAGEDIE OUBLIEE
Dans ce qu'on peut qualifier de "génocide de classe sociale", la révolte des Simbas au Congo a fait des milliers de victimes congolaises en visant l'Administration et tous ceux dont le niveau social dépassait celui de la moyenne de la population. Bien qu'on ne saura jamais exactement combien, j'en ai fait une estimation, basée sur des critères objectifs et permettant de fixer à un minimum de 50.000 le nombre de victimes congolaises. Il y en a eu certainement beaucoup plus, mais je n'ai pas voulu entrer dans des estimations qui ne reposent pas sur des données précises.
La révolte coûta également la vie à des centaines de compatriotes et autres expatriés. J'ai pu établir une liste de ces victimes, qui reste incomplète, mais qui donne toutefois une idée assez précise de l'ampleur de ce drame.
Mais le but de ce livre n'était pas seulement de faire un "recensement".
Les Congolais de Belgique déplorent souvent qu'ils manquent de repères dans l'histoire de leur pays. Les évènements de 1964 à 1967 constituent une page importante de cette histoire depuis l'indépendance du Congo.
Ce que les Congolais, souvent mal informés, peuvent retenir de ce drame affreux, animé par une volonté de destruction de toute l'organisation administrative existante et des principes moraux familiaux et sociétaux régissant la vie coutumière traditionnelle, c'est que leurs compatriotes n'ont pas hésité à venir en aide aux expatriés, surtout belges, et plusieurs d'entre eux l'ont payé de leur vie.
Comme leurs compatriotes au Congo, les Congolais de la Diaspora peuvent être fiers de ce que leurs parents, amis ou autres compatriotes ont accompli pour nous aider dans ces circonstances et montrent peut-être une vision plus fidèle à la réalité, des bonnes relations qui existaient entre nos deux populations, congolaise et belge.
Michel Faeles.
Cet ouvrage a aussi été traduit en néerlandais.
Pour le commander (13,00 € par poste pour la Belgique), contacter l'auteur :
Michel FAELES : m.faeles$live.fr (remplacer le dollar par l'arobase)
UNE JEUNESSE AU CONGO
Editions La Renaissance du Livre, février 2017, 192 pages, 16 x 24 cm, 22,90 €.
Illustrations dans le livre : photos provenant des collections privées des témoins.
OFFICE DES CITES AFRICAINES IN KISANGANI
"Office des Cités Africaines in Kisangani" est une étude de 459 pages réalisée par Sally Lierman en août 2011 dans le cadre d'un travail à l'Université de Gand.
Majoritairement en néerlandais, l'ouvrage comporte néanmoins des passages en français, notamment des interviews en fin d'ouvrage, et des illustrations.
Le développement urbain de Kisangani, contrairement aux autres cités congolaises, s'est appuyé sur l'ancienne réalité du terrain. Une urbanisation soigneusement réfléchie et planifiée a transformé Kisangani en une cité modèle qui sert de référence pour le développement des autres villes de R.D.C.
Cliquer ICI pour accéder à cette étude (il y a 2 pages blanches au début du document).
Merci à Peter Simon pour ce document.
L'HERITAGE DES BANOKO
La vérité dérange.... C'est bien connu. Déjà Gallilée s'était vu condamné par l'Eglise pour avoir soutenu que la terre tourne autour du soleil. En Belgique, les éditeurs ont refusé de publier ce livre qui dit une vérité qui dérange. Finalement publié aux Pays-Bas, cet ouvrage, remarquable par sa documentation écrite et iconographique, doit absolument être lu par tout qui s'intéresse de près ou de loin à la question congolaise.
Il est clair que depuis des décennies persiste en Europe une véritable campagne de désinformation des masses sur notre passé colonial. Révolté par tous les préjugés et clichés sur la colonisation, très souvent empreints de mauvaise foi, Pierre Van Bost a réalisé cet ouvrage pour démentir tous ces clichés et mythes et présenter un bilan de la colonisation, en replaçant les faits dans leur contexte historique de temps et d’espace et en montrant le pays moderne, développé et bien équipé dans tous les domaines que les Belges laissèrent en héritage aux Congolais en juin 1960 : « L'Héritage des "banoko" ».
Le livre, en français, a été édité fin 2015. Il comporte 480 pages et
1.400 illustrations.
Plus d'informations sur le site de l'auteur : L'HERITAGE DES BANOKO.
PIONNIERS MECONNUS DU CONGO BELGE
Plusieurs pages sont consacrées à la Province Orientale.
Né au Congo, Georges Antippas est un fils de ce pays. Il retrace ici les vies méconnues des artisans, bâtisseurs, commerçants, professionnels, animateurs culturels et religieux qui, venus de Grèce continentale ou des îles, d'Egypte, d'Ethiopie, d'Afrique du Sud, ont essaimé dans de vastes régions de ce qui était le Congo Belge. Sans bruit, modestement, menant des vies de travail au coude à coude avec des pionniers noirs, ces pionniers blancs ont donné un nouveau visage au Congo. Les décors du temps, des portraits et récits de famille, la mode, la consommation, des fragments de la vie quotidienne et des cultures populaires : autant de mémoires éphémères que "Pionniers méconnus" a sauvé de l'oubli.
Jean-Luc VELLUT
Professeur émérite UCL - (Louvain-la-Neuve)
Pour contacter l'auteur : Georges ANTIPPAS
Pour le commander :
https://www.weyrich-edition.be/africa/pionniers-meconnus-congo-antippas?sort=p.price&order=DESC#.XMWS_egzaUk
Itinéraires & témoignages
Ce livre relate une multitude d'évènements au Congo/Zaïre de 1960 à 1980.
On y retrouve bien entendu Stanleyville en 1964 et Kolwezi en 1978.
Pour le commander sur le site de l'éditeur :
http://weyrich-edition.be/africa?sort=p.price&order=DESC
Pour le trouver en librairie :
http://weyrich-edition.be/point-vente
Les cent mille briques
Les cent mille briques
La prison et les détenus de Stanleyville (1934-1958)
Par Bérengère Piret
Dans les premières années du 20e siècle, alors que l'expansion belge au Congo n'en est qu'à ses débuts, l'une des premières préoccupations de l'administration coloniale est de faire bâtir des centres de détention destinés aux Congolais et aux étrangers ayant contrevenu aux dispositions légales ou s'étant opposés à l'autorité coloniale. L'une des plus grandes prisons édifiées alors se situe à Stanleyville, aujourd'hui Kisangani, et est surnommée Cent mille briques.
Cet ouvrage s'intéresse à la fois aux aspects organisationnels, idéologiques et humains qui ont présidé à la construction et au fonctionnement de cet établissement. Au croisement des disciplines, Bérengère Piret a étudié à la fois les projets pénitentiaires; l'architecture et ce qu'elle traduit du projet colonial; ainsi que les acteurs qui sont internés, vivent ou travaillent dans la prison de Stanleyville. Le lecteur est ainsi entraîné de l'autre côté du mur, derrière les Cent mille briques où, aidé des nombreux clichés du cinéaste belge André Cauvin, il peut observer la vie carcérale. À travers la découverte de ce quotidien et, plus particulièrement, de l'organisation des principaux temps de la détention (travail, enseignement et loisirs), l'auteure a mis en évidence l'existence et la nature d'un véritable projet colonial belge où théories, pratiques et normes se superposent et parfois se heurtent, tant aux plans politique et juridique que social
PIRET Bérengère, Les cent mille briques. La prison et les détenus de Stanleyville, Lille, CHJ Éditeur, 2014 (coll. Colibris), 205 pages, 55 illustrations, 30 €.
Les commandes se font auprès de l’éditeur (chj@univ-lille2.fr)
Le site :
Centre d'Histoire Judiciaire - Université de Lille.
Beeldkroniek van Kisangani
Travail de fin d'études de Sander Aelvoet pour le grade académique de master en ingénieur d'architecture à l'Université de Gand, année académique 2009-2010.
Cliquer sur l'image pour télécharger ce document abondamment illustré (242 pages) ou sur ce lien.
L'année du Dragon
Enfin, voici la traduction française de ce bel ouvrage abondamment illustré !
Plus d'informations dans ce document et auprès des Editions Dynamedia.
Stanleyville où le Lualaba devenait Congo
Edition Didier Hatier, 1992.
(Collection Pierre VAN BOST).
Kisangani verloren stad
Auteur : Walter Zinzen, journaliste de la VRT, publié en 2004.
(Collection Pierre VAN BOST).
FEMMES ZAIROISES DE KISANGANI
Benoît VERHAEGEN
Ed. L'Harmattan, 1990, 294 pages.
Cliquer ici pour accéder à ce livre.
La couverture est surchargée d'un auto-collant "Opérations Humanitaires".
COLONEL VANDEWALLE, L'Ommegang, odyssée & reconquête de Stanleyville 1964.
Bruxelles, Vandewalle,"Témoignage africain ". 1970. In-8, 459 pp., Nombreux documents photographiques hors texte en noir et blanc, broché, couverture illustrée.
Auteur : Colonel BEM Hre André Closset
Préface par le Baron Patrick Nothomb
Plusieurs photos, 208 pages.
Achevé d’imprimé le 15 mai 1995,
Les Editions de l’Aronde, Avin-en-Hesbaye
D/1995/6688/01
12,50 euro, port compris,
disponible auprès de :
asbl Compagnons de l'Ommegang - Bruxelles
Compte : 310-1727990-21
IBAN: BE17 3101 7279 9021
BIC : BBRUBEBB
Renseignements auprès de Gilbert DESMET :
gilbertdesmet@skynet.be
En 1964, la rébellion populaire, partie du Kwilu l'année précédente, s'étend progressivement au sud-est et au nord du Congo. Le 5 août, les simbas s'emparent de Stanleyville (aujourd'hui Kisangani). Ils l'occuperont pendant quatre mois, la coupant du monde et prenant à la fin la population belge en otage. Le 24 novembre, une intervention militaire menée par la Belgique et soutenue par les Etats-Unis libérera les otages. Ecrit comme un journal sans date, ce récit-document raconte la terreur simba vue par neuf Blancs confrontés à la violence et à l'absurde.
Le livre est disponible aux Editions L'Harmattan.
Note : la photo de couverture du livre est prise devant le monument Lumumba.
111 days in Stanleyville
Publié par Harper & Row, New York First edition 1965, 279 pp, illustrations photographiques. Epuisé.
Récit débutant le 4 août 1964 lorsque les membres du consultat américain sont en train de détruire leurs livres de codes à l'approche des rebelles et se terminant le 24 novembre avec le massacre du Dr. Paul Carlson et d'autres missionnaires peu de temps avant l'arrivée des paras belges.
Ce livre a été ré-édité en 1988 sous le titre « Save the Hostages » chez Bantam ISBN 978-0553276053 (320 pages).
(Source : Olivier NYSSENS, novembre 2011).
"Dans Stanleyville", Editions Duculot, Paris - Louvain-la-Neuve, In-8, 345 pp., broché, 1993 (paru le 1.1.1994), 36882ISBN :280111054X. Epuisé.
Consul général de Belgique à Stanleyville en 1964, à l'époque de la rébellion sécessionniste des "Simbas", Patrick Nothomb nous livre le journal des événements vécus par les otages des rebelles.
Ce livre, interdit de publication pendant vingt-huit ans et rapidement épuisé dès sa sortie, a été réédité en 2011 (prix 22,00 euro). Voir photo de couverture ci-après. La réédition comprend des photos et des cartes.
Suite à la disparition des Editions Masoin, le livre n'est plus distribué. On peut en trouver quelques exemplaires en occasion. Pour la disponibilité, voir le Service du Livre Luxembourgeois ou auprès des Editions Dynamedia.
Couverture de la nouvelle édition.
Les noms des personnes et des lieux cités dans ce livre figurent sur cette page.
Le Bataillon Léopard
Edition Robert Laffont, 1992.
(Collection Pierre VAN BOST).
Existe aussi aux Editions "J'ai lu" :
Simba's en para's in Stan
(Collection Pierre VAN BOST).
De Acht van Stanleystad
(Collection Willy JUNES)
167 pages, Zonhoven 1991.
Le livre est écrit par Roland Marico, sous le nom de MIMI FREDRIX. Il fut l'un des 8 soldats belges retenus en otage à Kisangani par les rebelles mulelistes (Pierre Mulele). Ce livre peut être acheté chez lui via e-mail : roland.marico@telenet.be
Voir la page consacrée à ce livre.
Art africain traditionnel
Editions BALASI - Namur, 3ème édition (2012), 94 pages, format A4, abondamment illustré en couleur.
Une synthèse de l'art africain traditionnel.
Cinq pages consacrées aux art Boa (chaises de Bengamisa), Eenya (Wagenias) et Lokele (tam-tam).
Pour acquérir l'ouvrage, contacter l'auteur : blanchygb@yahoo.fr
Gérard BLANCHY n'est pas un inconnu en République Démocratique du Congo puisque de 1959 à 1992, il a totalisé 33 années de sa carrière comme enseignant.
Professeur à Stanleyville en 1959, au Collège du Sacré-Coeur, il participa à la rédaction du livre de "Sociologie africaine".
En 1967, il composa pour l'Université libre du Congo, un livre sur les "Les beautés de la phrase française".
A Matadi, de 1968 à 1970, au Collège Saint Alphonse, il rédiga un énorme syllabus de philosophie et un cours d'Esthétique. Il y rédigea aussi un syllabus sur "Les civilisations contemporaines". Ces travaux furent utilisés pendant plusieurs années dans les écoles secondaires de Matadi.
A Kinshasa, depuis 1970, au Collège Saint Raphaël, il composa, en 1984, un livre de "Correspondance commerciale française", réédité pour la troisième fois en 2005, puis un livre sur "La Technique de la Dissertation", livre très prisé par les professeurs de français au Congo.
Membre du Musée Africain de Namur depuis 2002, il en devint administrateur jusqu'en 2007 puis guide jusqu'en 2008. Il publia en 2005 un livre "L'Art africain traditionnel", réédité une première fois en 2007, pour l'enseignement en cinquième secondaire au Congo. La bienveillance des administrateurs de ce musée lui a permis, pour plusieurs oeuvres, l'illustration de ce livre qui en est en 2012 à sa troisième édition.
Gérard Blanchy a oeuvré beaucoup au Congo. Il fut aussi un otage de la rébellion de 64 à Stanleyville. Aussi fut-il décoré, en 1988, de la médaille de l'Ordre National du Zaïre.
Texte de Maître Jean MOSILO EBOMA, son élève
Avocat à la Cour Internationale de Justice à La Haye.
- "Le Rail au Congo Belge" , Tome III, 1945-1960, Editions Masoin, Bruxelles, 2008. Plusieurs milliers d'illustrations. Plusieurs références à Stanleyville. Renseignements auprès des Editions Dynamedia.