Bulletin 16 - octobre 2009
Le mot du Président
Voici déjà le dernier bulletin de l'année 2009, à la fin duquel vous trouverez le talon d'inscription à notre rencontre annuelle au Restaurant « STANLEY ». J'espère vous y retrouver nombreux.
Cette année nous avons vécu un été splendide avec un mois d'août ensoleillé, ainsi qu'une arrière saison très agréable. Je suis sûr que vous en avez tous profité et accumulé l'énergie qui vous permettra de faire face à l'hiver.
Comme chaque année, le 5 septembre, je me suis rendu à BLANKENBERGE pour la cérémonie d'hommage, au monument LIPPENS et DE BRUYNE, organisée par le cercle AMI-FP-VRIEND West Vlaanderen. Étonné de voir une équipe filmer et enregistrer la cérémonie, j'ai interrogé l'un des membres pour m'informer de la chaîne TV pour laquelle ils filmaient. Nos télévisions publiques s'intéresseraient-elles enfin aux coloniaux ?
En fait, il s'agissait d'un travail d'étudiant préparant une thèse sur le sujet. J'ai parlé longuement avec ces jeunes très sympathiques et intéressés par notre présence et la motivation de la cérémonie. Ces jeunes m'ont avoué leurs lacunes quant à l'histoire de la présence belge au Congo. A peine connaissaient-ils l'histoire de LIPPENS et DE BRUYNE, ce qu'étaient la Force Publique et la CTM. Ne parlons pas des événements de 1964.
J'ai donc répondu à leurs nombreuses questions en racontant ce que nous avions vécu, et le nombre élevé de victimes dont le souvenir n'est jamais évoqué. Je suppose qu'après ils allaient travailler leurs prises de vue pour en faire un document.
Avant de les quitter, je leur ai remis ma carte de visite en les priant de me tenir informé des résultats et des suites données. Espérons qu'un jour l'épais brouillard qui recouvre les tragique événements de 1964 sera levé et qu'enfin un hommage soit rendu à ces victimes du devoir.
Je poursuis le récit d'Aimé et Gaby HAVREZ. Comme indiqué dans le bulletin précédent, celui-ci débute avec l'arrivée d'Aimé au Congo. Il y décrit en détail la vie à l'époque. Certains renseignements, bien que d'un grand intérêt comme les maladies tropicales, sont plutôt destinés à des lecteurs ignorant les réalités africaines, ce qui n'est pas votre cas. Aussi je ferai abstraction de celles-ci dans le récit qui vous est soumis. Pour rappel, les parties en italiques sont l'intégral du récit d'Aimé pour mieux exprimer ses sentiments.
Cette année nous avons vécu un été splendide avec un mois d'août ensoleillé, ainsi qu'une arrière saison très agréable. Je suis sûr que vous en avez tous profité et accumulé l'énergie qui vous permettra de faire face à l'hiver.
Comme chaque année, le 5 septembre, je me suis rendu à BLANKENBERGE pour la cérémonie d'hommage, au monument LIPPENS et DE BRUYNE, organisée par le cercle AMI-FP-VRIEND West Vlaanderen. Étonné de voir une équipe filmer et enregistrer la cérémonie, j'ai interrogé l'un des membres pour m'informer de la chaîne TV pour laquelle ils filmaient. Nos télévisions publiques s'intéresseraient-elles enfin aux coloniaux ?
En fait, il s'agissait d'un travail d'étudiant préparant une thèse sur le sujet. J'ai parlé longuement avec ces jeunes très sympathiques et intéressés par notre présence et la motivation de la cérémonie. Ces jeunes m'ont avoué leurs lacunes quant à l'histoire de la présence belge au Congo. A peine connaissaient-ils l'histoire de LIPPENS et DE BRUYNE, ce qu'étaient la Force Publique et la CTM. Ne parlons pas des événements de 1964.
J'ai donc répondu à leurs nombreuses questions en racontant ce que nous avions vécu, et le nombre élevé de victimes dont le souvenir n'est jamais évoqué. Je suppose qu'après ils allaient travailler leurs prises de vue pour en faire un document.
Avant de les quitter, je leur ai remis ma carte de visite en les priant de me tenir informé des résultats et des suites données. Espérons qu'un jour l'épais brouillard qui recouvre les tragique événements de 1964 sera levé et qu'enfin un hommage soit rendu à ces victimes du devoir.
Je poursuis le récit d'Aimé et Gaby HAVREZ. Comme indiqué dans le bulletin précédent, celui-ci débute avec l'arrivée d'Aimé au Congo. Il y décrit en détail la vie à l'époque. Certains renseignements, bien que d'un grand intérêt comme les maladies tropicales, sont plutôt destinés à des lecteurs ignorant les réalités africaines, ce qui n'est pas votre cas. Aussi je ferai abstraction de celles-ci dans le récit qui vous est soumis. Pour rappel, les parties en italiques sont l'intégral du récit d'Aimé pour mieux exprimer ses sentiments.
En attendant le plaisir de vous retrouver le 21 novembre, je vous souhaite bonne lecture de votre bulletin. N'hésitez pas à me faire part de vos remarques et sentiments sur le contenu pour le rendre aussi attrayant que possible.
Sincères salutations à tous,
bien amicalement,
Christian DUEZ.
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